Cette histoire la, je l'ai écrite tout seul comme un grand, mais l'idée de base à été trouvé par un pote! On avait bien déliré la dessus!
...bien evidemment, je l'ai écrit pendant une heure de cours! une heure d'Histoire-Géo pour être précis!
…tic tac…00h00min00sec…
Ils sont quatre autour d’une table de poker. Enfin…quatre plus un debout derrière un autre. Cinq en tout, donc. Parmi ces cinq personnes, quatre peu recommandables : un chef de gang Cubain, un parrain de la Mafia et son porte-flingue (la fameux cinquième type) et un chef de clan Yakuza. Le dernier semble plus fréquentable, mais au fond il l’est tout autant (donc ‘pas’) que les personnages sus-cités. C’est un prêtre… un prêtre extrémiste…
Ils sont donc autour d’une table de poker en train de jouer…au poker ! Mais que font un parrain de la Mafia, un prêtre, un chef de gang Cubain et un Oyabun (le yakuza) en train de jouer au poker ? Ils désignent le futur « chef » de la ville ! Quelle ville ? Je préfère taire son nom…
Il ne reste plus que le prêtre et le parrain en jeu. Carré d’As…and the winner is...le parrain!!
-« Tu a triché, dis le prêtre.
-Ma qué tou té fous dé ma gueule ? (accent rital)
-Dieu n’aurait jamais permis que tu gagnes ! »
Sur ces mots, il sort d’on ne sait où un énorme flingue, un Python Magnum .44, et le braque sur le mafieux qui ne bouge pas. Son porte-flingue, lui, par contre, réagi et braque le prêtre avec son Desert eagle .50. Le genre de joujou qui t’arraches la tête…littéralement !
Sur ce, le Cubain, qui s’était couché à cause de sa paire de dames, braque le parrain avec un fusil à pompe à canon scié, quel salaud ce Cubain !
L’Oyabun met en application la zen attitude nippone et ne bouge pas d’un poil d’un couille.
…tic tac…00h05min00sec...
Personne n’a bougé. Soudain, un bruit détourne l’attention du porte-flingue pendant…hum, disons…1/10ème de seconde. Le temps pour le prêtre d’appuyer sur la détente et de faire un joli trou là où se trouvait le cœur du parrain. Réagissant immédiatement, le porte-flingue se retourne et fait sauter la tête du prêtre. Ca t’arrache la tête un .50, j’l’avais dit !
Profitant de cette aubaine, le Cubain tire sur le porte-flingue. Un canon scié à bout portant, ça fait mal, très mal. Il ne reste pas grand chose de la tête du rital.
…tic tac…00h05min02sec...
-“Il ne reste plou qué nous, gringo! (pour je ne sais quelle raison, tous les sud-américains parlant espagnol rajoutent « gringo » à la fin de leur phrases.)
-Non, il ne leste plus que moi (accent japonais…imaginez)
-Qué ? »
A peine eut-il prononcé ces mots qu’il entendit un léger « plump, plump », bruit caractéristique que fait un 9mm muni d’un silencieux. L’Oyabun ne s’étant pas levé, il avait eu tout le temps de dégainer son flingue ans que le Cubain ne s’en aperçoive et lui avait tiré deux balles dans la cage thoracique. Mort.
La ville appartient donc aux Yakuzas. Pourquoi essayer de régler de tels problèmes à l’amiable alors que tuer tout le monde suffit ?
…tic tac…00h06min01sec…
Je sais pas vous...mais moi je la trouve d'un niveau inférieur à "Mon nom est Caïn"...